Tout conflit vient de l'intérieur

Que l'on parle de santé, de politique, de social, d'écologie, des valeurs humaines, nous pouvons constater que nous sommes en plein effondrement. On peux reporter la faute sur les hommes politiques ou les grandes puissances financières, mais tant que l'on inculpe ces personnes, nous ne prenons pas nos responsabilités. Je ne pense pas que le changement à venir ne dépende que d'une poignée de personnes, il dépends de tous.

Mais le coeur de l'effondrement peu importe duquel on parle n'a pour origine aucun moyen matériel extérieur. Tu viens de l'intérieur, c'est à dire de nous-même. Les plus grands conflits mondiaux ou familiaux viennent du fait que nous ne sommes pas en paix avec nous.

De ce fait, si nous ne nous aimons pas, nous cherchons indéniablement l'amour dans le regard des autres, ou plus précisément, nous cherchons à nous aimer dans le regard des autres. A partir de cet instant, toutes les relations deviennent miroir.

Nous jugeons les autres sur leurs comportements comme nous nous jugeons, bien que parfois il arrive qu'on ne se regarde tellement plus que nous regardons que les autres. A partir de ce moment, le jugement devient omniprésent.

Mais alors comment faire pour s'aimer ? Et bien, ce sur quoi je suis en train de travailler, c'est de ne plus laisser les émotions négatives rentrer, ou du moins, quand elles rentrent, je me force à avoir tout de suite une pensée positive. Et des pensées négatives, il y en a : la culpabilité, la tristesse, la peur. Pour ma part, j'ai très souvent peur, je vis souvent dans l'inquiétude.

J'ai compris il y a peu grâce à quelque personne que la peur n'évite pas le danger mais qu'elle l'attire.

Après tout, nous recevons de l'univers ce que nous vibrons. C'est pour cette raison qu'il faut vibrer la confiance, la joie, la compassion.

La culpabilité surtout est un poison. Si nous avons mal agi, ce qui je pense arrive à chacun, c'est parce que la Vie est une école, et quand on est à l'école, nous savons que nous avons droit à l'erreur, alors pourquoi se le reprocher ?

Merci de m'avoir lu

Hugues